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BUKOWSKI (FRA) - Mathieu Dottel (Mars-2015)


BUKOWSKI s'est formé en 2007 et a su en seulement quatre opus s'imposer sur la scène Metal française. Il faut dire que les bougres ne reculent devant rien et foncent tête baisser quand il s'agit d'enquiller des dates malgré les difficultés car les BUKOWSKI n'hésitent pas à jouer dans les lieux les plus improbables. Si l'hexagone leur ouvre grand les bras le Japon, la Russie et même l'Amérique du sud semblent aussi tomber sous leur charme musicale ! Si à la base, le gang parisien était un trio, l'arrivée de Fred Dusquesne (EMPYR, WATCHA) à la guitare en 2013 semble leur avoir donné une nouvelle dimension musicale ! Il faut dire que ce dernier a pris en charge la production de leur deux derniers méfaits (Hazardous Creature ainsi que On The Rocks) et n'a pu résister à l'envie de partir sur les routes avec eux. L'ombre du célèbre écrivain n'est jamais très loin. Pour s'en convaincre, il suffit d'écouter "The Smoky Room" qui est un titre arborant les couleurs de la décadence, on sent le vécu d'emblé ! BUKOWSKI s'est avant tout une bande de copains qui ne se prend pas au sérieux, des partisans de la fête qui développent avant tout l'essence même du Rock'n'roll. Les neurones embrumés par la bière et la fumée ne les empêchent pas de nous pondre des albums de grande qualité et des hymnes auxquels il est difficile de résister ! Du tout bon qui s'inscrit dans un esprit totalement Rock'n'Roll, fast and furious. On The Rocks en est la preuve vivante, un opus ambitieux qui prouve que nos amis n'hésitent pas à innover tout en restant proche de leurs racines. Il n'en fallait pas plus pour que MI se mette en quête d'en savoir un peu plus sur BUKOWSKI. C'est Mathieu Dottel, le chanteur/guitariste, qui s'est entretenu avec votre serviteur. Interview avec un garçon sympathique, enthousiaste et visiblement très heureux du parcours du gang. Une interview sans langue de bois qui fleure bon la sincérité et la joie de vivre. Magnéto Mathieu, c'est à toi !

Line-up
: Mathieu Dottel (chant et guitare), Fred Duquesne (guitare), Julien Dottel (basse), Thibault Morin (batterie)

Discographie : Amazing Grace (2009), The Midnight Sons (2011), Hazardous Creatures (2013), On The Rocks (2015)



Metal-Impact. Quel souvenir gardes-tu de votre tournée japonaise ?
Mathieu Dottel. C'était complètement génial, on a eu un accueil d'enfer. On a ouvert pour différents groupes et c'était complet à chaque fois. On a fait que deux dates c'était un truc express, on a eu l'occasion de rencontrer différent boss la bas aussi. Je n'étais jamais allé dans ce pays et je me suis pris une grosse claque.

MI. Qu'est ce qui t'as le plus surpris au niveau de l'accueil au Japon ?
Mathieu. Tout est hyper millimétré. Quand tu arrives dans la salle de concert, il te donne une fiche où il faut que tu précises le moment où tu vas parler entre les morceaux, il faut aussi donner le timing des titres. Il faut oublier les concerts en France pour essayer de comprendre leur manière de fonctionner car c'est radicalement différent. J'étais un peu ébahi par tout. Au final, j'ai trouvé que tout ce qui était caricatural en ce qui concerne ce pays ne l'était pas en fait, c'était complètement fidèle à l'image que l'on s'en fait.

MI. Il y a de grosses différences comparé à la France ?
Mathieu. Oui, c'est plus carré et c'est hyper speed. Tu n'as pas le droit d'arriver avant les balances et lorsque tu arrives tu la fait immédiatement. On avait 27 minutes de balance ni plus ni moins. Après le show c'était pareil, il fallait respecter complètement les timings tout est très réglé, c'est speed. En tant que feignasse française moi j'aime bien avoir mon petit confort c'est-à-dire prendre mon temps avant de monter sur scène. Là, c'était un peu speed mais cela s'est très bien passé.

MI. Vous comptez y retourner ?
Mathieu. On a déjà l'intention d'y retourner pour le prochain album. C'est ce qui est prévu. On a un bon label là-bas King Records qui est conséquent donc il y a de fortes chances qu'on se rende au Japon prochainement.

MI. As-tu rencontré des fans japonais ?
Mathieu. Oui, on en a croisé quelques-uns mais il n'y en avait pas beaucoup parce que l'on n'a pas une grosse mise en avant dans les bacs. Mais on en a rencontré et ceux-là sont des fans absolus. Fred était considéré par une fille comme un demi-dieu ! [Rires] ... C'est space.

MI. Quel souvenir gardez-vous de votre tournée russe ?
Mathieu. Oui, on a fait dix dates en dix jours, on a du parcourir 20 000 km en camion. C'était hyper épuisant mais c'était génial. Par contre, il faisait extrêmement froid parce que l'on était en plein milieu de l'hiver. On a joué dans le fin fond de la Russie tout proche du Kazakhstan. C'était quand même hyper éprouvant. Quand on est rentré on était KO technique.

MI. Est-ce qu'il y a des moments qui t'ont marqué ?
Mathieu. C'est sur la dernière date, on a fini invité par le promoteur, on a passé la nuit chez lui. Le concert était complet et les gens étaient complètement dingues. On venait d'essuyer un échec cuisant juste avant, on avait fait trois milles kilomètres pour jouer devant six mecs. Là tu en a plein les pattes. Mais la dernière a été géniale, cela s'est terminé en apothéose heureusement. On est parti avec le smile et on était très content.

MI. Est-ce que l'on arrive à être motivé avec six personnes dans la salle ?
Mathieu. On a tout donné et on l'a fait à chaque date. Je dis six personnes mais c'était plutôt quinze, ils étaient tous devant et complètement à fond. Rien que pour cela on se doit nous aussi d'être à fond.

MI. Vous allez sortir un clip et un single ?
Mathieu. Oui mais pour l'instant je ne peux rien dire car le label m'a demandé de ne pas le révéler.

MI. Vous avez envie de quoi au niveau de la réalisation ?
Mathieu. On va avoir un petit scénario avec des faux Elvis. On va faire un casting de faux Elvis et tout tournera autour de ça.

MI. Sur la pochette, c'est bien Elvis ?
Mathieu. Oui, c'est lui on a pas pu mettre son visage. On aime bien cette photo, on a l'impression qu'il met une droite à quelqu'un, on trouvait ça pas mal. Avec ce titre On The Rocks, on voulait sortir un petit peu du cliché Metal, c'est quelque chose d'un peu positif et festif. Mais c'est aussi un hommage à l'écrivain Bukowski parce qu'il picolait pas mal de Whisky. On aime nous aussi bien faire la fête.

MI. Bukowski semble vous avoir beaucoup marqué !
Mathieu. On essaye d'avoir toujours une logique c'est pour cela que sur chaque album on fait un petit clin d'œil à Charles Bukowski. Mon frère et moi on est des très grands fans de ses écrits. Julien a quasiment tout lu. Il doit lui manquer une ou deux nouvelles mais il a lu la totale.

MI. Est-ce qu'il vous inspire au niveau des textes ?
Mathieu. Oui tout à fait. On a un morceau qui s'appelle "The Smoky Room" qui parle de Biko, des soirées enfumés, de la beuverie, des excès en tout genre. Il nous influence toujours un petit peu et forcément on est obligé de le citer assez régulièrement.

MI. Dans quel état d'esprit étiez-vous lors de l'écriture de On The Rocks ?
Mathieu. Ça a été vite parce qu'en fait on a eu une demande du label et on s'est retrouvé un petit peu comme des cons car on avait rien, aucune compo. Heureusement Fred a un studio à Botzaris dans Paris, on a pu s'y enfermer et on a tout fait à l'envers. On a composé en studio, on a enregistré les morceaux et après on a appris à les jouer ! [Rires] ... Le résultat est bien et en studio ça défonce. On avait peur de ne pas être capable de refaire certains plans. Quand tu ne le sens pas en jouant de la guitare c'est compliqué. Mais au final tout se passe super bien sauf que l'on a tout fait à l'envers.

MI. C'est une première ?
Mathieu. Oui, c'est la première fois. Avant on s'enfermait en répétition et on entrait en studio après mais là on n'a pas eu le temps du tout donc il fallait le faire. On s'est dit que la seule solution c'était de faire comme ça et tout a fonctionné de suite. On est très content de la manière dont se sont déroulées les choses.

MI. Qu'est-ce qui vous a poussé a travaillez avec Fred Dusquesne au niveau production en 2013 ?
Mathieu. C'est Fred qui nous l'a proposé. Il était ami avec notre ancien manager et on s'est mis en relation, on a discuté un petit peu, nous on voulait un peu de changement. On n'aime pas trop resté tout le temps dans le même moule même si on est ravi du travail accompli par Francis Caste. C'est un mec exceptionnel et on est de très bons amis. Mais on voulait changer et on a bien fait puisque Fred est resté dans le groupe. On l'a embarqué sur la route avec nous.

MI. En terme de production qu'est ce qui a changé depuis l'arrivée de Fred ?
Mathieu. C'est surtout au niveau des méthodes de travail celle de Francis Caste n'a absolument rien à voir avec celle de Fred. Ils ont tous les deux du matériel différents et une autre approche de la production. Francis est beaucoup plus psychédélique et Fred est nettement plus big Rock. Le gros son, sur On The Rocks on s'est fait chier ! [Rires]

MI. Vous avez donc beaucoup travaillé sur le son de On The Rocks ?
Mathieu. Ah oui, quand même. On voulait continuer dans cet esprit-là. De nos jours les gens travaillent beaucoup avec des programmations de batterie, avec de faux amplis. Nous on a voulu travailler à l'ancienne, à l'analogique avec une super batterie et on a essayé plein de son de guitares. Il y a sur cet opus je ne sais combien de guitares différentes. Ca va de la Jaguar en passant par l'électro acoustique et les ESP bien sûr. On a vraiment beaucoup travaillé le son, on s'est pris la tête.

MI. Qu'est-ce qui vous séduit dans la façon d'enregistrer à l'ancienne ?
Mathieu. Cela crée une osmose particulière et puis on a appris comme ça. Nous on vient de la scène des années 90 ou tout se faisait comme ça. Il n'y avait pas cette froideur qu'on retrouve maintenant et qui ne nous correspond pas du tout. On est complètement habitué à travailler comme ça et on n'a pas envie d'en changer. Quand on travaille à distance il y a toujours un meneur et des suiveurs dans BUKOWSKI ce n'est pas du tout comme cela. Chacun amène ses idées et le mieux pour travailler ainsi c'est d'être ensemble.

MI. Lors de l'arrivée de Fred à la guitare est-ce qu'il a fallu un temps d'adaptation ?
Mathieu. Oui effectivement sur le début de la tournée il a fallu que l'on trouve nos marques qui étaient différentes avant sous forme de trio. Mais tout c'est très bien passé.

MI. Vous vous sentez plus à l'aise à trois ou à quatre ?
Mathieu. Personnelement, je suis plus à l'aise à quatre car je peux déléguer un petit peu de guitare. Avant j'étais collé derrière mon micro du fait que je faisais Chant/Guitare. Après moi j'adore le power trio donc c'est un paradoxe ce que je dis mais c'est vrai que pour moi c'est beaucoup plus simple parce que je ne suis pas obligé de faire toutes les parties de guitares. Je peux mieux me concentrer sur mon chant.

MI. Pourquoi votre batteur récemment recruté vous a quitté ?
Mathieu. On a eu des petites embrouilles internes, je pense que l'on n'allait pas vraiment tous dans la même direction. Après c'est une histoire de groupe, je le remercie infiniment d'avoir fait toute la tournée avec nous. Mais il y a eu un moment où il y a eu une fracture.

MI. C'est un problème humain ?
Mathieu. Je ne peux pas trop parler du sujet mais effectivement c'est plus humain que musical. Il y a eu des petits accrochages.

MI. Comment avez-vous rencontré Simon votre nouveau batteur ?
Mathieu. C'est le batteur du groupe de mon frère à la base et il s'est proposé. On a fait des auditions et cela s'est bien passé. Et puis il habite juste à côté de chez nous, il est donc très disponible et a un bon visuel sur scène. J'adore les batteurs qui en font des caisses sans être kitch. Il tape très fort, on retrouve un peu chez lui du Nico que l'on avait à nos débuts. On est très content et je pense que celui-là restera. C'est bon, on ne bouge plus.

MI. Vous faites plusieurs reprises de KISS sur scène...
Mathieu. Oui, on en faisait surtout une à savoir "Rock'n'roll All Night". Mais malheureusement on ne la fait plus, faudrait peut-être qu'on la ressorte c'est vrai.

MI. Vous êtes des fans de KISS à la base ?
Mathieu. Pas mal, je ne connais pas toute leur carrière, c'est surtout notre manager qui nous a fait découvrir KISS. Surtout les vieux KISS et moi j'ai adoré. C'est surtout moi qui aime bien KISS, Fred aussi mais on ne le savait pas parce qu'à l'époque il ne jouait pas avec nous.

MI. Tu as pu les voir en concert ?
Mathieu. Oui, je les ai déjà vu mais ils n'étaient pas en grande forme. Je vais les voir au Hellfest et j'espère qu'ils seront mieux. La dernière fois on entendait plus la pyrotechnique que le reste des zicos. Là je pense que ça va être un grand moment au Hellfest.

MI. Vous avez pu tourner en Amérique latine et j'ai lu que vous avez eu de sérieux problèmes !
Mathieu. C'était quand même génial mais on a eu deux ou trois petites embrouilles. Tu te dis merde c'est assez tendu. Par exemple, nosu avons joué avec un groupe qui m'a volé mon argent dans les backstages. Je suis allé les voir pour régler le problème. Là, ils m'ont enfermé dans une pièce et ils m'ont dit qu'ils allaient me tuer. Il y en avait un qui sortait de dix ans de taule, c'était un tueur. J'aurai du lui dire de laisser tomber et de garder mon pognon au lieu de faire le petit mariol. Là c'est vrai que j'ai eu la peur de ma vie. J'ai vraiment cru qu'il y avait une dame qui faisait des prières derrière lui et qui était en train de dire : "tu te tais, tu vas mourir". J'ai eu peur franchement, je n'ai pas fait le malin. On a aussi joué en hommage à un type qui était mort, dans la salle tout le monde était armé, ça allait des adolescents jusqu'aux vieux. Il y avait un climat qui était quand même assez tendu, on a croisé pas mal de Chicanos avec des bandanas et des grosses bagnoles et ils te regardent droit dans les yeux, c'est un peu comme dans les films. Mais il y a aussi d'autres endroits qui sont magiques.

MI. Comment arrivez-vous à tourner dans autant de pays ?
Mathieu. Ecoute pour le Japon c'est parce qu'on travaille avec une boite qui fait des échange franco/japonais. Grace à un type qui s'appelle Angel on a pu être booké. Il nous a fait signer là-bas au Japon. C'est vrai que c'est très rare et que l'on a beaucoup de chance. Après c'est souvent dû à des rencontres. Quand on a tourné en Argentine, c'est parce qu'on a accompagné LOGIN DATA qui est signé la bas sur un label qui s'appelle No Glory Records et qui nous a signé aussi. On est parti en tournée en Argentine pendant deux semaines. Pour la Russie on s'est démerder tout seul, on a contacté un gars la bas. Mais ça reste tout de même beaucoup de travail, ce n'est pas aussi simple que cela.

MI. Existe-t-il une certaine solidarité sur la scène française ?
Mathieu. Il y en a moins qu'avant, il fut un temps où on était un petit peu plus main dans la main. Mais c'est une scène qui est toujours en ébullition, il y a des nouveaux groupes qui arrivent en permanence. Il y a quand même encore de très bons groupes. C'est une scène en pleine essor. Mais effectivement il y a peut-être un petit manque de solidarité, on se regarde un peu tous en se jugeant, c'est un peu chiant.

MI. Et avec MASS HYSTERIA ?
Mathieu. Ce sont de très bons potes, les LOFOFORA, les BLACK BOMB A. On a de bonnes affinités avec MASS HYSTERIA. C'est eux qui nous un peu mis le pied à l'étrier au début de BUKOWSKI. Ils nous ont donné des sérieux coups de mains, on ne peut que les remercier.

MI. Vous avez ressenti beaucoup de pression pour l'enregistrement de cet opus ?
Mathieu. Oui, on se l'est mise parce que l'on voulait faire quelque chose du mieux possible. C'était différent. Après je ne sais pas si il y avait plus de pression. On nous vraiment donné envie donc on était à fond les manettes. La pression je ne l'ai pas ressenti plus que ça.

MI. Comment te sens-tu avant la sortie de l'album ?
Mathieu. Ecoute, on croise les doigts. C'est vrai que c'est le moment qui est un peu stressant. Il y a toujours un petit stress entre le moment où tu le termine et la date ou il sort.

MI. C'est important pour vous les réactions que ce soit des fans ou des médias ?
Mathieu. Oui, c'est hyper important. C'est la base, je peux te dire que si les médias déclarent que c'est pourri, c'est que c'est vrai [Rires] ... Si les gars te tapent un peu dessus sur le coin de la gueule, c'est déprimant. Quand les médias te disent c'est cool t'as bien bossé ça veut dire que les gens vont certainement apprécier.

MI. Vous avez joué au Hellfest, c'est une expérience que vous avez envie de renouveler ?
Mathieu. Moi complètement, j'adorerai ça. Je pense que d'ailleurs l'année prochaine on sera là. Malheureusement pas cette année mais en 2016, on fera tout pour.

MI. Est-ce qu'il y a des festivals ou vous avez envie de jouer par-dessus tout ?
Mathieu. Pour moi, c'est le Grasspop, le Wacken, le Rock Am Ring. Il y a aussi un festival dans le nord de la France mais je ne me souviens plus du nom. Ce qui est sûr c'est que c'est un nom anglais.

MI. Pour conclure as-tu quelque chose à rajouter ?
Mathieu. Venez tous le 14 avril au Point Ephémère pour notre release party ! On espère que ce sera complet comme d'habitude et continuez à nous soutenir comme ça c'est le paradis sur terre grâce à vous.

MI. Merci beaucoup.
Mathieu. Merci à toi !


Ajouté :  Mardi 29 Septembre 2015
Intervieweur :  The Veteran Outlaw
Lien en relation:  Bukowski Website
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